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Vie étudiante

Une rentrée universitaire à ne pas manquer : la check-list du parent impliqué !

Pour que la rentrée universitaire de votre enfant se passe pour le mieux, voici la liste de tout ce à quoi il faut penser avant de démarrer. Et notamment un que les jeunes ont parfois tendance à négliger : leur santé ! Promis, on ne révélera pas vos sources.

1 – Régler les frais d’inscription

Depuis la crise sanitaire, les frais d’inscription à l’université sont gelés. Ce sera encore le cas en 2022-2023. Ils n’en restent pas moins obligatoires et incluent les frais de scolarité, l’affiliation (obligatoire) à la Sécurité sociale étudiante, ainsi qu’un droit annuel à de la médecine préventive.

Ces frais s’élèvent de 170 euros pour un DUT ou une licence, à 601 euros pour un cursus d’ingénieur démarré avant le 1er septembre 2018, 2 500 euros pour un cursus démarré après. Ils se règlent directement auprès de l’université, au moment de l’inscription, exclusivement par carte de débit, chèque ou en liquide : vous ne pourrez pas régler par carte bancaire. Il est possible de régler en 3 fois sans frais.

Les étudiants boursiers sont naturellement exonérés de ces frais.

Pour les connaître tous, rendez-vous sur le site du service public.

2 – Régler la Contribution vie étudiante et de campus (CVEC)

Bon à savoir : les étudiants qui démarrent leurs études supérieures doivent impérativement régler cette contribution avant de s’inscrire.

Votre enfant saura apprécier le fait que tout se passe en ligne ! Il suffit de se connecter puis de créer un compte sur MesServices.etudiant.gouv.fr, d’indiquer la ville dans laquelle il ou elle étudie, puis de régler la somme de 92 €. Les sommes ainsi récoltées par les établissements sont destinées à améliorer les conditions de vie des étudiants sur les campus.

La circulaire du 20 mars 2019, relative à la Contribution à la vie étudiante et de campus indique en effet que : “Le produit de la CVEC doit permettre de financer des actions dont le but est de favoriser […] l’accueil et l’accompagnement social, sanitaire, culturel et sportif des étudiants, ainsi que la prévention et l’éducation à la santé. Ainsi, les actions financées par la CVEC doivent se rattacher à l’un ou l’autre de ces domaines.”

Certains étudiants peuvent être exonérés :

  • les étudiants boursiers,
  • les étudiants réfugiés,
  • les étudiants bénéficiaires de la protection subsidiaire,
  • les étudiants enregistrés en qualité de demandeur d’asile ayant le droit de rester sur le territoire.

3 – S’inscrire au Resto’U

Ce ne sera jamais digne de votre blanquette du dimanche – les traditions culinaires familiales sont imbattables – mais dites bien à votre enfant que la restauration étudiante a changé. Tout en restant accessible au plus grand nombre : 3,30 € le repas, 1 € pour les étudiants boursiers ou en situation de précarité.

Désormais, on peut notamment troquer son classique plateau repas du Resto’U contre une formule à emporter dans un foodtruck. Mais surtout, on peut manger frais et équilibré sans se ruiner.

Vous avez pris soin de leur alimentation depuis leur plus tendre enfance : c’est le moment de leur rappeler que bien manger, c’est également indispensable pour bien étudier !

4 – Se protéger en cas de pépin de santé

Les étudiants sont exonérés de toute cotisation auprès de la sécurité sociale et ils n’ont aucune démarche d’affiliation à mener. Mais les mots assurance maladie et mutuelle sont probablement nouveaux pour eux. Afin de leur garantir d’être remboursés, rappelez-leur quelques règles de base :

  • mettre à jour leur carte Vitale dans une pharmacie ou dans la caisse d’Assurance maladie de leur lieu d’habitation,
  • créer leur compte Ameli pour suivre leurs remboursements et faire leurs démarches de santé. S’ils ronchonnent, précisez leur qu’Ameli est également disponible sous forme d’appli Android ou iOS.
  • Envoyer leur RIB par courrier à leur caisse,
  • déclarer leur médecin traitant.

Sur ces entrefaites, il reste conseillé d’adhérer en plus à une complémentaire santé. Votre enfant a probablement tendance à ne pas trop se préoccuper de sa santé, il est pourtant essentiel d’être bien couvert. Même pour certains soins classiques, l’assurance maladie laisse en moyenne un reste à charge de 30 %. Et ça peut monter à 40 % voire davantage, pour certaines prestations optiques ou dentaires.

Naturellement, votre enfant peut rester ayant-droit de votre propre contrat jusqu’à ses 28 ans. Mais il peut avoir des besoins spécifiques, ou envie de garanties plus adaptées à son mode de vie.

Yvon, solution du Groupe VYV, à laquelle nous nous associons pour accompagner nos adhérents étudiants, propose une complémentaire santé pensée pour les étudiants, simple, complète et accessible dès 15 euros par mois. Elle inclut des soins à tarifs négociés en optique, dentaire et ostéo. Un système de téléconsultation accessible 24h/24 et 7j/7, avec un médecin disponible en chat ou visio. Une question à ce sujet ? Cliquez sur le bouton « être rappelé » en haut de cette page, on vous expliquera tout.

5 – Se renseigner sur les aides financières

Ce n’est pas tout de régler frais et cotisations, de nombreuses aides existent pour soutenir le financement des études de vos enfants. Mieux vaut se renseigner au plus tôt. Une bourse étudiante peut notamment leur être attribuée, en fonction de vos revenus. Un système de points par enfants à charge et selon la distance qui sépare le lieu des études du foyer familial, permet de préciser le montant de l’aide.

Les étudiants boursiers qui ont obtenu une mention Très bien au bac peuvent également bénéficier d’une aide au mérite, ainsi que de l’aide à la mobilité Parcoursup, d’un montant de 500 euros, s’ils sont contraints de déménager pour entrer dans l’enseignement supérieur.

Encouragez également votre enfant à se renseigner pour les transports. Des tarifs ou dispositifs leur sont dédiés dans toutes les régions, afin de leur permettre de se déplacer chaque jour à moindre coût.

Enfin, ce n’est déjà pas simple de trouver un logement, encore faut-il avoir les moyens de financer le loyer. Nous avons recensé dans un article spécifique toutes les aides au logement auxquelles votre enfant peut prétendre.

6 – Et en cas de mobilité internationale ?

Si votre enfant a la chance de partir à l’étranger pour suivre une formation supérieure, il peut bénéficier d’une aide à la mobilité internationale. À certaines conditions.

  • Sa formation doit s’accomplir dans le cadre d’un programme d’échanges ou un stage international.
  • Il doit bénéficier d’une bourse sur critères sociaux ou d’une aide spécifique annuelle.
  • C’est également possible s’il prépare un diplôme national qui peut répondre aux compétences et besoins du ministère de l’enseignement supérieur
  • S’il est étudiant Erasmus +, sous d’autres conditions.

À noter qu’Yvon, la solution du Groupe VYV, propose également une protection internationale qui prend en charge les frais de santé, mais également l’assistance rapatriement en cas de souci, ainsi que toutes les assurances de voyage nécessaires à un départ serein.

Pour en savoir plus

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