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Harmonie Mutuelle, études supérieures, père fille
Harmonie Mutuelle, études supérieures, foire aux questions

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Harmonie Mutuelle, études supérieures, logement

Logement

Habiter en résidence étudiante, louer un studio ou prendre une chambre en colocation… Le choix d’un logement est déterminant pour le bien-être de l’étudiant.

Le budget moyen mensuel des étudiants pour se loger en France est de 613 €.
En moyenne, les chambres étudiantes se louent 437 € pour une surface de 13 m², les studios 557 € pour 23 m² et les appartements T1 550 € pour 29 m². Pour les T2, la surface constatée est de 41 m² et le loyer moyen de 732 €.

Enquête menée par LocService.fr (2022). Pour en consulter l’intégralité, rendez-vous sur leur blog.

Difficile de trouver un logement étudiant, surtout si vous n’êtes pas à proximité de la ville dans laquelle votre enfant va s’installer à la rentrée. Pour mettre toutes les chances de votre côté, voici une sélection d’applications qui peuvent vous apporter de l’aide dans cette quête du Graal :

Yvon – Avec Yvon Logement, pas de compromis sur le logement pendant vos études ! Véritable concept dédié aux jeunes, nos résidences sont situées en centre-ville. Ce sont des lieux de vie optimisés avec la mise en place de services majoritairement inclus dans le loyer et adaptés aux besoins des étudiants (buanderie, salle de sport, coworking…).
Pinql
Crous mobile
Roomster
Roompik
Le Bon Coin

En déplacement ponctuel dans l’année pour des stages ou des examens ? Rendez-vous sur UXCO ou Bed & Crous.

Vous avez besoin d’aide dans les démarches de recherche de logement ? L’Union nationale des Comités locaux pour le logement autonome des jeunes (CLLAJ) a lancé Projet’Toit, une plateforme qui répond aux besoins d’informations des étudiants, notamment dans les territoires peu couverts par les services publics ou pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer.

Une fois le logement étudiant trouvé, il ne faut oublier aucune démarche pour avoir l’esprit tranquille ensuite : changer d’adresse pour bien réceptionner les documents officiels (c’est possible de le faire en une fois grâce à la démarche en ligne), assurer le logement dès le premier jour de location, anticiper les souscriptions auprès des fournisseurs d’énergie et d’internet, sans oublier la création d’un compte sur le site des impôts – il est possible qu’aucune taxe d’habitation ne soit à payer, mais il faut être en mesure de recevoir les avis des finances publiques 😉

Différentes aides sont disponibles pour les étudiants, tant pour le quotidien que pour l’installation :

  • Les aides au logement de la CAF
    • L’APL (Allocation personnalisée au logement) :
      • son montant est calculé en fonction des revenus du foyer (il faut compter entre 100 et 150 €, voire plus selon le profil) ;
      • elle peut être demandée quelle que soit la situation familiale (célibataire, marié, avec ou sans personne à charge) ;
      • locataire, colocataire ou sous-locataire (sous certaines conditions) peuvent la demander ;
      • si les parents signent le bail dans le cas d’un étudiant mineur, il est important que le logement soit conventionné pour y prétendre.
    • L’ALF (Allocation de logement familiale) est prévue pour les situations familiales particulières (étudiant isolé ou en couple avec une personne à charge) et n’est pas cumulable avec l’APL ou l’ALS.
    • L’ALS (Allocation de logement sociale) :
      • prévue pour les personnes ne pouvant prétendre à l’APL ou l’ALF, qu’elles soient locataire, colocataire ou sous-locataire ;
      • c’est l’allocation principalement versée aux étudiants car elle s’adresse aux résidants de foyers d’hébergement, notamment les résidences pour étudiants ;
      • elle est calculée en fonction de la situation familiale, du montant des ressources et du montant du loyer (son montant maximum est d’environ 200 € par mois).

Pour ces aides, il faudra fournir :
– une copie recto-verso de la carte nationale d’identité, du passeport, ou de l’extrait d’acte de naissance (nationalité française), ou une copie du titre de séjour en cours de validité dans les autres cas ;
– un relevé d’identité bancaire (RIB) ;
– l’attestation de loyer ou de résidence complétée, datée et signée par le propriétaire ou le foyer d’hébergement ;
– les justificatifs des revenus (de l’étudiant ou des parents).

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de la CAF.

 

  • Les aides proposées par Action Logement
    • La caution locative VISALE, si vous n’avez pas de ressources suffisantes pour vous porter caution en tant que parent. Ce dispositif peut ainsi couvrir jusqu’à 36 mois d’impayés maximum pour le logement privé, jusqu’à 9 mois pour un logement social. Si vous devez l’utiliser, le montant sera à rembourser à Action Logement selon un échéancier fixé avec eux. Pour en bénéficier, il faut :
      • avoir entre 18 et 30 ans ;
      • ou être salarié·e de plus de 30 ans embauché depuis moins de 6 mois ou gagnant jusqu’à 1500 € nets par mois ou en mobilité professionnelle ou en possession d’une promesse d’embauche de moins de 3 mois ;
      • que le logement pour lequel la demande est faite soit la résidence principale ;
      • le montant du loyer (charges comprises) ne doit pas excéder les 1300 € (1500 € en Île de France) ;
      • avoir un logement décent qui respecte le Règlement sanitaire départemental.
    • L’avance Loca-Pass, qui prend en charge le dépôt de garantie demandé par le bailleur pour un montant maximal de 1200 €. Pour le rembourser, pas d’intérêts mais il faut le faire dans les 25 mois qui suivent, à partir de 20 € par mois. Les conditions pour y prétendre :
      • être salarié·e d’une entreprise du secteur privé non agricole quel que soit l’âge ;
      • avoir moins de 30 ans et être en formation professionnelle (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation) ou en recherche d’emploi ;
      • être étudiant·e salarié·e et justifier d’un contrat à durée déterminée (CDD) de trois mois minimum en cours au moment de la demande d’aide, d’un ou plusieurs CDD pour une durée cumulée de trois mois minimum au cours des six mois précédant la demande d’aide ou d’une convention de stage d’au moins trois mois en cours au moment de la demande, ou d’un statut d’étudiant boursier d’État français ;
      • en étant salarié·e du secteur agricole, l’avance Agri-Loca-Pass existe.Il faut veiller à déposer son dossier au plus tôt 3 mois avant – et au plus tard 2 mois après – la date d’effet de bail. En cas de départ avant la fin du bail, il faut rembourser la totalité des frais dans un délai maximum de 3 mois suivant le départ. Loca-Pass propose un dispositif semblable à la garantie Visale : la garantie Loca-Pass.
    • La subvention Mobili-Jeune, prévue pour aider à régler le loyer et cumulable avec la garantie Visale et l’avance Loca-Pass, est destinée aux jeunes de moins de 30 ans en formation en alternance au sein d’une entreprise du secteur privé non-agricole. Son montant peut varier de 10 à 100 € par mois. Elle est versée semestriellement. Colocation, location vide ou meublée, foyer ou résidence sociale, logement conventionné ou non à l’APL, logement en sous-location (dans le parc social), chambre en internat peuvent en bénéficier. En alternance dans le milieu agricole ? Une autre aide est prévue : l’aide Agri-Mobili-Jeune.

 

  • Les autres aides

    • Le Fonds de Solidarité Logement (FSL), géré par les départements, est prévu pour vous accorder des aides financières en cas de difficulté pour payer les dépenses liées au logement (dépôt de garantie, premier loyer, assurance, frais de déménagement, factures d’énergie, etc.). Cette aide tient compte de l’ensemble des revenus au moment de la demande, à l’exception des aides au logement. Son attribution n’est pas systématique et peut être refusée. Pour plus d’informations, renseignez-vous auprès de votre département ou de la CAF.

Sur le budget mensuel d’un étudiant, entre le tiers et le quart est consacré au logement. Solution de plus en plus choisie (par les étudiants et jeunes actifs), la colocation est, depuis longtemps, une alternative intéressante pour gagner des mètres carrés tout en optimisant ce poste de dépense. Bonne nouvelle : depuis 2013, La Carte des Colocs propose un service simple, pratique et gratuit de mise en relation entre colocataires.

D’ailleurs, la colocation peut aussi être intergénérationnelle. Elle permet de rompre la solitude des seniors et offre un loyer modéré aux jeunes. En études à Lille, Bordeaux, Strasbourg, Nantes ou en Île-de-France ? La plateforme Xenia met en relation des profils qui matchent en fonction des attentes et des centres d’intérêt de chacun !

Attention tout de même à bien prendre en compte toutes les facettes de la vie en communauté… les plus comme les moins 😉

La seconde main a le vent en poupe et ça tombe bien : il n’y a rien de mieux pour se meubler à petit prix ! La seule règle ? Ne pas craindre de fouiller !

Quelques idées pour trouver votre bonheur : les sites de revente entre particuliers (comme Le Bon Coin, le Marketplace Facebook ou encore ParuVendu) ; Emmaüs et les ressourceries ; les vide-greniers et brocantes ; faire un tour le soir de la collecte des encombrants ; les sites et applis de dons entre particuliers ; les magasins et sites de vente d’appareils reconditionnés.

Quand on trouve un appartement qui réunit tous les critères, on préfère le conserver pendant la durée de ses études. Pourtant, même si la coupure estivale permet de rentrer « à la maison », il faut continuer à payer le loyer. La sous-location durant cette période est tout à fait légale sous certaines conditions, la première étant de prévenir le bailleur et d’avoir son accord (une copie de l’attestation est à fournir au sous-locataire). Ensuite, comme pour toute transaction, un contrat est indispensable. Il permet de cadrer la durée de la sous-location, le montant et la date de paiement du loyer, les modalités de résiliation, le montant du dépôt de garantie et de sa restitution ainsi que les obligations des deux parties.

Attention, seuls les logements privés peuvent être mis en sous-location, pas une chambre du Crous 😉

N’hésitez pas à vous rendre par ici pour plus d’informations.

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Budget

Soutenir les projets de son enfant, c’est aussi y consacrer un budget qu’il faut pouvoir gérer et ce quelle que soit sa situation.

Chaque année, les demandes de bourse et de logement se font à partir de mi-janvier jusque mi-mai, que ce soit pour les lycéens en vue de leur poursuite d’étude dans l’enseignement supérieur ou pour les étudiants souhaitant renouveler leur demande pour l’année suivante.

Pour constituer son dossier social étudiant (DSE), quelques étapes à respecter :

  1. Vérifier son éligibilité sur le site du Crous ou du gouvernement.
  2. Créer ou mettre à jour son compte en ligne (le suivi de dossier se fait également à cette adresse).
  3. Saisir son DES en cliquant sur l’onglet dédié « demande de dossier social étudiant ».
  4. Envoi d’une notification conditionnelle par le Crous une fois le dossier instruit indiquant l’échelon de bourse en fonction du vœu d’étude indiqué. Le montant annuel de la bourse varie de 1042 € (échelon 0 bis) à 5736 € (échelon 7). Cette bourse est versée en 10 mensualités, avec une mise en paiement le 5 de chaque mois à partir d’octobre.

En amont, il ne faut pas hésiter à rassembler toutes les pièces justificatives qui seront à joindre à la demande. Si c’est impossible, pas d’inquiétude, le DSE peut être renseigné en plusieurs étapes et les documents sont à joindre directement en ligne.

Les bourses FÉDÉEH encouragent et soutiennent les élèves et les étudiants en situation de handicap pour optimiser leur potentiel et concrétiser leurs projets d’études et professionnels. Les boursiers peuvent obtenir une dotation pour financer les besoins nécessaires à la poursuite de leurs études et un appui à l’orientation (conseils, parrainage, mise en relation avec d’autres jeunes en situation de handicap…).

Qui peut candidater ?
Sont éligibles à l’appel à candidatures des bourses FÉDÉEH :

  • les jeunes en situation de handicap inscrits dans un établissement d’études supérieures ou lycéens de terminale souhaitant poursuivre leurs études ;
  • les étudiants handicapés souhaitant poursuivre leur cursus supérieur (BTS, IUT, CPGE, universités, grandes écoles, CFA…).

Le prêt étudiant garanti par l’État permet d’obtenir un financement de 15 000 euros sans caution, garantie parentale ni conditions de ressources. Pour y prétendre, peu de conditions administratives : être européen, avoir moins de 28 ans et faire la demande auprès des banques partenaires. Il n’est pas obligatoire d’être déjà client de l’établissement auprès duquel la demande est faite, mais certaines banques refusent les dossiers des demandeurs extérieurs.

Ce prêt est en fait un crédit à la consommation destiné à financer les études sans l’aide de ses parents : frais de scolarité, logement, équipement informatique, mais aussi voiture, frais quotidien, mobilité internationale… Le rôle de l’État est de garantir l’emprunt à hauteur de 70 % (hors intérêts) auprès de la banque sollicitée – cette banque doit être partenaire de BPI France, la banque publique d’investissement puisque c’est elle qui sera garante auprès de la banque privée. Attention, cela ne veut pas dire que la banque va automatiquement allouer le maxima. C’est à négocier avec elle. Même le minima d’ailleurs, car la banque est libre d’estimer que la demande et le projet d’études et professionnel n’offrent pas de garanties suffisantes de solvabilité.

La Contribution Vie Étudiante et Campus (CVEC) doit permettre de créer, de consolider et de renforcer différents services des établissements d’enseignement et des Crous. Elle peut :

  • intervenir dans les domaines de la santé (développement des centres de santé universitaire),
  • favoriser l’accompagnement social,
  • soutenir les initiatives des étudiants (subventions de projets associatifs),
  • développer la pratique sportive sur les campus,
  • soutenir l’art et la culture,
  • améliorer l’accueil des étudiants.

Elle concerne tous les étudiants inscrits en formation initiale dans un établissement d’enseignement supérieur en France – sauf les inscrits en BTS, DMA, dans les formations comptables, en formation continue et les étudiants en échange international en France. Les étudiants boursiers, réfugiés, demandeurs d’asile ou bénéficiaires de la protection subsidiaire ou protection temporaire en sont exonérés. A contrario, certains étudiants assujettis à la CVEC en bénéficient peu (étudiants inscrits dans des établissements non-affectataires, étudiants sur des sites ou antennes délocalisées, étudiants des classes préparatoires aux grandes écoles).

La CVEC passera à 95 € pour la rentrée universitaire 2022-2023 – contre 93 € à la rentrée précédente.

Parfois délicate, la question de l’indemnisation d’un stage ou du salaire lors d’un premier emploi ne doit pas être taboue ! Il est normal et nécessaire de l’aborder, mais pas n’importe comment. Les prétentions doivent être cohérentes avec l’entreprise, le poste visé, le statut, la convention collective, etc. Des éléments comparatifs sont disponibles sur le web en faisant une simple recherche. En complément, il est important de prendre en compte les conditions de travail (transport, télétravail…) et les « compléments de rémunération » s’il y en a (chèques déjeuners, mutuelle, CE…). Enfin, quel intérêt est porté au poste en question : travail alimentaire ? Tremplin ? Première expérience pouvant être précaire ? Poste prometteur ? En bref, quelle place va-t-il avoir dans la construction du parcours professionnel.

N’oubliez pas que l’entretien est un échange durant lequel il faut rassurer l’employeur sur les motivations et leur « durabilité ». Il faut garder en tête d’y aller avec :

  • un projet professionnel clair,
  • une bonne préparation de sa candidature et de son entretien (renseignements sur l’entreprise),
  • un vrai intérêt pour le poste,
  • une approche de la mission à moyen terme minimum.

Après ça, la question de la rémunération sera bien un point intégrant de la discussion et plus une question à part.

De nombreuses aides financières et accompagnements réservés aux jeunes et étudiants, apprentis ou sans emploi existent :

Pour découvrir le récapitulatif complet, rendez-vous sur le blog Yvon.

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International

Avoir une couverture sociale française ne suffit pas lorsque l’on part à l’étranger pour ses études. Une assurance santé internationale est essentielle pour couvrir les dépenses de santé qui peuvent parfois coûter cher.

La protection sociale est indispensable lorsqu’il faut partir étudier, faire un stage ou voyager à l’étranger.

Pour l’Europe, les pays de l’Union Européenne/Espace Économique Européen, la Suisse ou le Royaume-Uni, rendez-vous sur votre compte ameli pour demander la carte européenne d’Assurance maladie (CEAM). Elle permet d’attester des droits en France et de bénéficier d’une prise en charge, sur place, de vos soins médicaux. Attention, des formalités supplémentaires sont à réaliser pour le Royaume-Uni depuis son retrait de l’UE.

Pour les autres pays, les modalités de prise en charge varient selon la perception, ou non, d’une gratification et selon son montant. Il est recommandé de souscrire un contrat d’assurance qui garantit le remboursement des frais médicaux engagés tout simplement parce qu’ils peuvent coûter très cher selon la destination.

Toutes les informations et contacts de l’Assurance Maladie :
ameli.fr pour s’informer sur l’actualité, les droits et les démarches, les remboursements, la santé.
Le compte ameli pour accéder à tous les services de son espace personnel.
Le forum ameli pour toute question d’ordre général.
– Le 3646 (service gratuit + prix appel) du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 30.
– En accueil auprès de la Caisse d’assurance maladie de votre lieu de résidence.

Entre la logistique, la préparation administrative et le dossier Erasmus+, partir à l’étranger peut paraître effrayant. Voici quelques conseils à donner à votre enfant pour qu’il réussisse l’expérience sereinement.

Avant le départ
1. Monter son dossier en avance. Pour ça, il faut se rendre au plus tôt au service des relations internationales de l’établissement supérieur.
2. S’informer sur les Unités d’enseignement (UE) proposées par l’université choisie dans le cadre du programme Erasmus.
3. Se rapprocher des anciens étudiants de l’école ou de l’université ayant fait un Erasmus, en particulier s’ils ont étudié dans l’établissement étranger d’accueil.
4. Se renseigner sur la ville dans laquelle se déroulera l’expérience Erasmus (coût de la vie, transports, quartiers, etc.).
5. Trouver un logement en privilégiant une colocation Erasmus ou avec les étudiants locaux.
6. Être bien assuré pour cette expérience internationale !

Une fois sur place
1. Se forcer à aller échanger avec les autres étudiants, pas forcément les Français. Il ne faut pas hésiter à se rapprocher des associations destinées aux étudiants Erasmus pour rencontrer du monde.
2. Prévoir un budget mensuel et s’y tenir, en prenant en compte un budget voyage pour rentrer en France ou visiter le pays d’accueil.
3. Capturer des souvenirs, notamment des photos à faire développer une fois que ce sera terminé. Bien sûr, garder contact avec les gens rencontrés est important 😉
4. Ne pas imaginer ce qui peut être manqué en France durant ce séjour mais en profiter pleinement – c’est une expérience personnelle qui dépasse le cadre des études !

Étudier à l’étranger, c’est s’immerger dans une autre culture, apprendre ou améliorer une langue et élargir le champ des opportunités en parallèle de son cursus. Alors quels sont les pays qui attirent le plus d’étudiants ?

Au sein de l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur (EEES)
Avec une architecture des diplômes harmonisée et des crédits universitaires transférables, l’espace européen de l’enseignement supérieur (EEES) facilite la mobilité des étudiants et chercheurs européens. L’Europe est ainsi la première zone géographique d’accueil et la deuxième région d’origine des étudiants mobiles dans le monde. Plus de 2,4 millions de jeunes effectuent une mobilité diplômante sur le continent, dont les ¾ au sein de l’Union européenne ! Quatre pays – Russie, Royaume-Uni, Allemagne, France – attirent à eux seuls la moitié des étudiants en mobilité en Europe.

Dans le reste du monde
Sans surprise, ce sont les États-Unis qui accueillent le plus d’étudiants étrangers. Les plus ambitieux d’entre eux convoitant des places dans les plus prestigieuses universités comme Yale et Stanford sur la côte Est.
Populaire auprès des travailleurs, le Canada, voisin des États-Unis, l’est aussi au niveau des étudiants. Un pays présentant un avantage indéniable d’un point de vue linguistique. Car grâce au Québec, où on parle tout aussi bien anglais que français, les étudiant français peuvent s’adapter plus facilement.
Enfin l’Australie, qui fait toujours rêver les jeunes du monde entier, accueille presque 300000 étudiants qui tentent l’aventure Erasmus !

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Santé et bien-être

Prendre soin de soi, c’est nécessaire mais ça peut être nouveau pour un étudiant. Pour étudier dans les meilleures conditions, la complémentaire santé s’impose.

Lancé en mars 2021, le programme Santé Psy Étudiant s’ajoute aux autres dispositifs d’aide psychologique. Il permet aux étudiants qui en ressentent le besoin de bénéficier de 8 consultations auprès d’un psychologue. Il s’adresse à tous les étudiants inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur. Après avoir obtenu une lettre d’orientation de la part du service de santé de leur établissement ou de leur médecin généraliste, l’étudiant pourra rencontrer l’un des professionnels partenaires du dispositif.

Via Le bon sport pour moi , le ministère chargé des Sports peut aider à choisir le sport qui convient le mieux à chacun·e grâce à un questionnaire. Ce dernier prend en compte les préférences, le profil, les envies, les objectifs et qualités physiques.
En complément, le Handiguide des sports recense, pour toute personne en situation de handicap, l’offre sportive adaptée et à proximité de chez elle.

Manger sainement lors des études supérieures, c’est possible. Quelques astuces : le Resto’U, les AMAP, les épices solidaires, cuisiner soi-même des produits frais – plutôt que prendre des plats préparés – ou même miser sur les applis anti-gaspi.

Et pour associer cuisine saine et économique, voici quelques astuces à partager :
– privilégier une cuisine efficace, qui peut couvrir plusieurs repas ;
– faire ses courses le ventre plein pour ne pas prendre « n’importe quoi » ;
– avoir une liste de courses en anticipant ses repas ;
– si c’est possible, cultiver quelques herbes aromatiques sur son balcon.

Entre ordinateur, tablette ou smartphone, il est nécessaire de se protéger des effets néfastes que peut avoir la lumière bleue, mais aussi du « binge-watching ». Perturbation du sommeil, lésions de la rétine, sédentarité, maladies chroniques et fatigue oculaire ne sont pas fatals. Filtres spéciaux, lunettes de protection et bonne posture peuvent aider. Bien sûr, il faut aussi prévoir des temps de repos sans écran : la modération, comme pour tout, est la clé.

Le sommeil est essentiel, en particulier lors d’une phase d’apprentissage. La nuit, le cerveau en profite pour faire le bilan de la journée, emmagasiner et classer les informations. Mieux vaut donc éviter de rattraper un manque de sommeil accumulé avec une « grosse » nuit après d’autres plus courtes. Pour bien dormir, voici quelques conseils simples : prendre soin de son alimentation le soir, éviter les écrans, réguler la température de sa chambre et faire une activité physique dans la journée.

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Vie étudiante

Devenir étudiant, c’est aussi avoir de nouvelles responsabilités face au quotidien et bien s’assurer pour y faire face.

Un plan de formation et de sensibilisation massif, un renforcement des dispositifs de signalement, une communication renforcée et la valorisation de l’engagement des étudiant·e·s ainsi que des personnels. C’est dans le cadre du nouveau plan national d’action contre les violences sexistes et sexuelles dans l’Enseignement supérieur et la Recherche que ces objectifs ont été mis en place en 2021 et s’étale sur la période 2021-2025, mobilisant une enveloppe de 7 millions d’euros.

Cet article posté sur le site Yvon détaille davantage les dates à retenir sur la prévention dans l’ESR.

En complément, la Fédération nationale des CIDFF (centres d’information sur les droits des femmes et des familles) a lancé la campagne #NeRestePasSeule pour rappeler aux étudiantes que la loi les protège et les inciter à demander de l’aide en cas de violences (harcèlement sexuel, cybercontrôle, agressions sexuelles et viols).

Intitulé « Lutter contre la haine et les discriminations anti-LGBT+ », un guide spécifique sert à accompagner les établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche pour sensibiliser et lutter contre les violences anti-LGBT+.

Pour l’intégralité des explications, rendez-vous sur le blog Yvon.

Présenté à l’été 2020, le plan « 1 jeune, 1 solution » a été mis en place pour aider les jeunes à faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire. L’objectif ? Trouver une place dans la société pour chaque jeune en facilitant leur entrée dans la vie professionnelle, en les orientant vers des métiers d’avenir et en construisant des parcours d’insertion sur mesure.

Pour l’intégralité des explications, rendez-vous sur le blog Yvon : la contextualisation du programme et le simulateur d’aides.

La vie étudiante, c’est aussi très souvent synonyme de petit boulot. Alors pour sortir du « classique » travail dans un fast-food, voici des pistes à creuser : pet-sitter, vendeur sur les marchés, figurant, réceptionniste ou même client mystère ! 😊

Le gouvernement a mis en place une nouvelle rubrique sur Mon Parcours Handicap pour faciliter le quotidien des étudiants ou futurs étudiants en situation de handicap. Cette rubrique « études supérieures et handicap » permet d’accéder plus facilement aux informations sur les accompagnements possibles et aides existantes, notamment sur les interlocuteurs à contacter et les démarches à effectuer pour :

  • la poursuite des études dans l’enseignement supérieur,
  • les aides et aménagements pour compenser l’impact du handicap dans le suivi des études,
  • l’orientation,
  • la vie étudiante,
  • la préparation à la vie professionnelle,
  • les interlocuteurs mobilisables.

Pour l’intégralité des explications, rendez-vous sur le blog Yvon.

De plus en plus de filières exigent de faire un stage mais comment s’y prendre ? Quelques conseils :

  • faire une liste et identifier des contacts,
  • savoir présenter sa candidature,
  • avoir des objectifs précis et un peu d’audace,
  • ne pas hésiter à relancer !

Pour l’intégralité des explications, rendez-vous sur le blog Yvon.

Un stage, c’est souvent une première expérience dans le monde professionnel. Alors pour le réussir dans les meilleures conditions, il faut veiller à respecter quelques règles :

  • apprendre à s’intégrer au sein d’une équipe,
  • découvrir le fonctionnement de l’entreprise,
  • développer son réseau en échangeant avec tous les services,
  • poser des questions sur le marché du travail à ses collaborateurs,
  • découvrir des multitudes de parcours professionnels,
  • affiner son projet professionnel.

Pour l’intégralité des explications, rendez-vous sur le blog Yvon : la check-list de l’étudiant stagiaire et les clés pour réussir son stage.

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Orientation

Choisir son orientation n’est pas chose aisée : les perspectives sont multiples et il peut être difficile de trouver sa voie dans l’enseignement supérieur. Un petit coup de pouce fait toujours du bien 😉

L’apprentissage dans l’enseignement supérieur connaît de plus en plus de succès : il est non seulement la garantie d’une première expérience professionnelle et l’activation des premiers réseaux, mais aussi celle d’un salaire durant ses études puisque l’étudiant a le statut salarié. Son premier avantage réside dans cette possibilité de préparer un diplôme tout en développant son employabilité. Grâce au temps passé en entreprise, les missions et responsabilités confiées lui permettent également d’acquérir de solides compétences opérationnelles en complément des connaissances théoriques.

Difficile d’y voir clair et de faire des choix quand il s’agit d’orientation. Quels sont les secteurs qui recrutent ? Quelles entreprises, métiers et régions offrent les meilleures opportunités ? Beaucoup de questions auxquelles le blog Yvon tente de répondre :

  • Les conclusions du baromètre LinkedIn
    Parmi les secteurs qui embauchent le plus de jeunes diplômés, on retrouve l’informatique, l’industrie manufacturière et les services aux entreprises.
    Au niveau des métiers en forte croissance, il faut compter sur les gestionnaires de paie, les développeurs ou même les techniciens de maintenance.
    Quant aux régions les plus attractives (hors Île-de-France), on peut citer l’Auvergne-Rhône-Alpes ou les Pays de la Loire !

 

  • La cybersécurité : des métiers d’avenir
    Cette filière d’avenir propose des postes très recherchés : consultant, veilleur-analyste, chef de projet sécurité, architecte sécurité et administrateur sécurité.
    Des métiers auxquels on peut accéder grâce à près de 150 formations longues (licence professionnelle, master, titres d’ingénieur, mastères spécialisés), et se perfectionner ensuite à travers plus de 400 formations courtes. Une offre riche et variée !

 

  • Des clés pour booster l’employabilité
    Pour mieux comprendre et appréhender la perception des actifs face à la transformation des métiers, des propositions pour booster son employabilité ont vu le jour. Parmi elles, la mise en avant des soft skills, la flexibilité du télétravail, l’anticipation des changements, etc.

Filière, accompagnement, débouchés, vie étudiante et vie pratique… Ce sont 34 guides pour tout savoir, bien s’orienter ou découvrir comment va se passer la première année d’études.

Le service civique est un engagement volontaire destiné aux 16-25 ans sur une mission d’intérêt général d’une durée de 6 à 12 mois – 8 en moyenne – à raison de 24 heures hebdomadaires. Mais avec la mise en place de la modulation des heures réalisées par semaine dans le cadre d’un service civique, les étudiants peuvent plus facilement y accéder ! Cela leur permet ainsi de s’investir dans une mission d’intérêt général (solidarité, santé, éducation pour tous, culture et loisirs, sport, environnement, mémoire et citoyenneté, développement international et action humanitaire, intervention d’urgence) tout en percevant une indemnité.

Retrouvez toutes les informations sur le site du Service civique.Le service civique est un engagement volontaire destiné aux 16-25 ans sur une mission d’intérêt général d’une durée de 6 à 12 mois – 8 en moyenne – à raison de 24 heures hebdomadaires. Mais avec la mise en place de la modulation des heures réalisées par semaine dans le cadre d’un service civique, les étudiants peuvent plus facilement y accéder ! Cela leur permet ainsi de s’investir dans une mission d’intérêt général (solidarité, santé, éducation pour tous, culture et loisirs, sport, environnement, mémoire et citoyenneté, développement international et action humanitaire, intervention d’urgence) tout en percevant une indemnité.

Retrouvez toutes les informations sur le site du Service civique.

Le CV est un passage obligé pour faire ses premiers pas dans la vie active, qu’il s’agisse d’un job étudiant, d’un stage ou même d’un premier travail après son cursus. Le blog Yvon vous donne quelques clés pour réussir son CV et mettre en avant des compétences originales :

  • La question de la photo
  • La mise en avant des diplômes
  • Présentation chronologique ou anti-chronologique ?
  • Une page doit suffire
  • La lettre de motivation
  • Les détails attendus concernant l’identité (nom, prénom, adresse, e-mail, numéro de téléphone…)
  • Stages, petits boulots, bénévolat… rien ne doit être laissé de côté : ça témoigne de l’envie de travailler
  • Les distinctions « autres »
  • Les « soft », « hard » et « mad » skills pour montrer son unicité
  • Une mise en forme claire et propre

L’année de césure est une opportunité d’enrichissement et d’acquisition de compétences sans pénaliser le cursus. Et les idées sont nombreuses !

  • Volontariat international

Plusieurs formules existent :
– la réalisation de missions solidaires en Europe via le Corps européen de solidarité,
– une mission d’intérêt général dans un pays en voie de développement,
– ou encore le Volontariat international en administration, qui permet de travailler pour les services de l’État français à l’étranger.

  • Service civique

Cet engagement indemnisé 530 € nets par mois est ouvert à tous les 16-25 ans (30 ans pour les jeunes en situation de handicap) sans condition de diplôme. 9 domaines ont été choisis pour ces missions d’intérêt général : solidarité, santé, éducation pour tous, culture et loisirs, sport, environnement, mémoire et citoyenneté, développement international et action humanitaire, intervention d’urgence.

  • Projets persos motivés

Engagement associatif bénévole, opportunité professionnelle en CDD, expérience chez les sapeurs-pompiers… Tout autre projet personnel motivé peut enclencher une année de césure !

Attention, le dispositif est strictement encadré d’un point de vue réglementaire et il ne faut pas hésiter à se renseigner rapidement auprès de l’établissement d’études supérieures pour anticiper. Par ailleurs, votre enfant peut aussi démarrer par là après l’obtention de son baccalauréat – c’est possible via Parcoursup 😉

Le blog Yvon revient sur les différentes perspectives qui s’offrent aux étudiants lorsqu’ils choisissent d’interrompre leur cursus.

Chaque année, les concours de la fonction publique attirent de plus en plus de candidats. Épreuves écrites et/ou orales, sélection par un jury… Le blog Yvon fait le point sur :

  • les différentes fonctions publiques (d’État, territoriale, hospitalière, européenne, internationale) ;
  • les catégories d’emploi (A, B ou C) ;
  • et les concours associés.